Pourquoi les plus puissants ont tendance à le rester et les classes moyennes à ne pas se révolter

Les animaux en position dominante, ou aux caractéristiques physiques extraordinaires, vont plus souvent réagir avec agressivité, expliquent-ils. À l'inverse, les subordonnés et individus plus ordinaires ont plus facilement tendance à courber l'échine

Le deal est d'avoir une société plus solidaire. Il faut apprendre aux dominants à respecter les autres et aux individus plus ordinaires à ne pas tout permettre , à ne pas se laisser faire. Je pense que c'est l'intelligence et l'école qui devraient remédier à ces inégalités.

Muriel, quel est l'ordre naturel des choses ?
L'éducation peut un peu modifier mais, à mon avis, lorsqu'on cesse d'éduquer ou lorsqu'on relâche la pression, "le naturel revient au galop" (l'homme revient facilement à la sauvagerie)... regarde Trump, regarde dans nos banlieues, regarde le comportement des hommes en Inde ou simplement le comportement d'immigrés à Cologne et Hambourg...

Je crois surtout en l'intelligence et l'éducation mises au service de l'humanité avec un grand H, c'est elles qui nous tirent vers le haut !

J'ai modifié mon message pendant que tu rédigeais le tien ; regarde ce que j'ai écrit, qui montre ce qu'il se passe lorsqu'on relâche les efforts ou les lois (Charia).

L'homme avec un grand H n'est pas encore arrivé bien sûr mais on peut toujours s'améliorer.

Tu peux toujours espérer mais l'histoire ne montre pas de progrès ; au contraire, les contraintes budgétaires orientent vers d'autres dépenses.

Tu peux toujours espérer mais l'histoire ne montre pas de progrès

Il y a des hauts et des bas mais globalement notre époque a progressé depuis la préhistoire !

MurielB a écrit:

Tu peux toujours espérer mais l'histoire ne montre pas de progrès

Il y a des hauts et des bas mais globalement notre époque a progressé depuis la préhistoire !

A peine...

Excusez-moi, mais je ne comprends pas bien cette question. Par définition, les classes dominantes ont le pouvoir. Elles sont constituées des gens qui ont du pouvoir, d'une façon ou d'une autre.
Mais rien n'empêche un salarié de devenir patron, sinon ses capacités personnelles. Tout n'est pas facile, il y a de la compétition bien sûr, mais c'est vrai dans n'importe quel job.
Rien n'empêche non plus les enfants des classes moyennes ou populaires de faire des études et d'arriver haut dans l'échelle; mais les enfants des milieux dominants bénéficient bien sûr du niveau socio-culturel des parents, avec tout ce que cela implique, ce qui fausse un peu la compétition à l'école - mais pas complètement.

Je suis d'accord avec toi Rémy et je répète ce que j'ai dit plus haut

MurielB a écrit:Je pense que c'est l'intelligence et l'école qui devraient remédier à ces inégalités.

Remy, ce n'est pas une question... il n'y a pas de point d'interrogation.

Une étude danoise a décrypté les mécanismes sociaux et psychologiques...

Lis, c'est intéressant