comment rester en bonne santé

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Un article paru récemment dans le Figaro, journal gauchiste comme chacun sait, soulève le lièvre suivant : les product's chimiques présents en grand nombre dans nos aliments, seraient responsables pour une bonne part de l'hécatombe actuelle de cancers, de maladies d'alzheimer et de stérilité masculine. Un bébé engoufre quotidiennement en moyenne 128 produits chimiques différents...

Bertrand,

Remy a écrit:... le Figaro, journal gauchiste comme chacun sait...

Attention, tes lignes sont susceptibles d'être lues par des non Français et l'absence de smiley peut être source d'erreurs...

Tu as raison, Gérard,

le Figaro est le quotidien de référence de la droite française.
Cet article enfonce un coin dans la stratégie globale de la chaîne industrielle agroalimentaire, des agriculteurs qui traitent leurs cultures ou leurs bétails, aux industriels qui fabriquent les produits finis en y ajoutant un tas de choses étonnantes. Bien sûr, il faut nourrir tout le monde, mais quand-même.
L'exode rural, c'étaient des paysans qui partaient à la ville pour travailler dans des usines. Alors, forcément, dans les campagnes, il fallait intensifier la production. De plus, les récoltes excédentaires de la France étaient exportées dans des pays qui nous vendaient en retour des matières premières ou autres.
Mais, aujourd'hui qu'il n'y a pratiquement plus de travail pour les ouvriers en usine, ne pourrait-on pas revenir à l'agriculture d'antan ? Pas en un jour, bien sûr.

Pour les Petits Français.
L'idée de revenir à l'agriculture est intéressante, mais cela est-il possible? La mécanisation connue en industrie a aussi eu lieu dans l'agriculture. Il est clair qu'il y a un déficit d'agriculteurs, mais cela est-il suffisant pour reclasser tout le monde ? En plus, le retour à l'agriculture suppose un changement de mode de vie que peu d'ouvriers de l'industrie pourraient accepter.
L'embauche de main d'oeuvre pour une agriculture plus biologique suppose une hausse des coûts de production que peu de consommateurs accepteraient. Et puis, la gauche a toujours tendance à en rajouter sur les questions sociales et para-sociales. Ils effraient puis rassurent les plus paranoïaques concernant le poulet mal élevé qu'ils ont dans leur assiette, et récoltent ainsi des voies. Disons le clairement, la sur-qualité (inutile, puisque l'espérance de vie augmente) à bas coût n'existe pas. Et l'électeur de gauche n'est pas prêt à payer plus cher, même si c'est meilleur. C'est pareil avec la retraite, on vit plus vieux, donc on coûte plus cher, mais malgré tout on ne veut pas travailler plus, alors que de nombreux autres pays le font.

D'accord avec ce que tu as écrit Nicolas !

Bonjour Gérard, Nicolas, tous,

Gérard, tu affirme que les Etats-Unis exportent une m... qu'ils ne connaissent pas chez eux. Mais alors comment se fait-il qu'ils aient de gros problèmes de santé avec l'excès de poids et le diabète ? Problèmes que nous commençons à connaître.

De manière générale, si l'on est franchement de droite, on porte au pinacle toutes les innovations industrielles, sans distinction, au nom du principe de réalité. Il faut bien se nourrir, par exemple. L'emploi, le profit justifie toute chose.
Si l'on est franchement de gauche, on condamne systématiquement le profit ; toute activité industrielle est vue comme une exploitation de l'homme par l'homme.
Si l'on essaie d'être objectif, donc sur des bases scientifiques, il faut sans doute faire la part des choses.
On a construit des barres d'immeubles très moches dans les années 60-70, parce qu'il fallait bien loger les gens. On a utilisé les engrais et les pesticides parce qu'il fallait bien augmenter les rendements, on a mécanisé parce qu'il fallait baisser les prix pour nourrir tout le monde et que l'on manquait de main d'oeuvre pour les usines (que l'on m'arrête si c'est erroné). On a paré au plus pressé. Est-ce qu'aujourd'hui, ces contraintes sont encore d'actualité ?
L'espérance de vie augmente ? Pour combien de temps encore ?

Dans le magasin bio de mon quartier, les clients sont en priorité des professionnels de la santé. Je ne crois pas qu'ils soient gauchistes.



Concernant la retraite, il est vrai qu'a priori, si les gens vivent plus vieux, il faut soit reculer l'âge de la retraite, soit baisser les pensions. Je voudrais simplement signaler que le PIB français augmente plus vite que la population, ce dont on ne parle jamais. Donc les choses ne sont peut-être pas aussi simples que cela...

Mais bon. Bonne nuit quand-même.

Bertrand,

Réponse partielle...
Si les Américains sont obèses c'est qu'ils mangent à longueur de journée et beaucoup trop.
De plus, ils avalent plein de compléments alimentaires (produits chimiques) dès leur plus jeune âge, chose qui n'est pas encore arrivée jusqu'ici.

L’équipe du Pr Morten Wahrendorf a en effet montré que « les incapacités sont plus fréquentes et surviennent plus tôt dans les pays ayant la politique sociale la moins développée et où les inégalités socio-économiques sont les plus prononcées ».
Merci Gerard ! Cette politique coûte cher mais elle vaut la peine !

Bonjour Muriel, tous,

Encore une fois, la France se dit meilleure que les autres !  

Bonsoir à tous,

-> Santé : les cigarettes électroniques «potentiellement cancérogènes»

Ca semble être la "recherche" d'aujourd'hui !
Un coup en avant, un coup en arrière !!

On lance un truc sur le marché et on attend les conséquences ; les tests sont effectués en réel !
Avant, on avait des cobayes mais les défenseurs des animaux s'en émeuvaient alors maintenant, les testeurs, ce sont directement les hommes. LOL

Bonjour à tous,

-> Les bactéries intestinales influent sur l’obésité publié pour CI News par Samuel Koné.
Selon deux recherches publiées simultanément dans la revue Nature du 29 août 2013, les personnes ayant un déficit en bactéries intestinales auraient des risques accrus de développer des complications liées à l'obésité. Cette étude a ainsi permis de mettre en évidence que les individus ne seraient pas égaux, au sein d'une population données, quant à la qualité de leur flore intestinale (encore nommée microbiote intestinal), ce qui influencerait leur susceptibilité face aux maladies métaboliques liées à l'obésité.

> Déficit en bactéries intestinales
Tiens, ça me fait penser à l'usage abusif d'antibiotiques si cher à notre pays ! Ca me fait aussi penser que lorsque j'étais plus jeune (je le suis toujours), on disait qu'après l'absorpsion d'antibiotiques, il fallait manger des yaourts pour "refaire la flore intestinale", est-ce que la chose a été oubliée ?
> microbiote
Tiens, il y avait eu un sujet là-dessus, qui soulignait son l'aspect capital !

Bonsoir à tous,

J'ai été très intéressé par le magazine TV de ce soir (30 octobre) qui parlait des faramineux progrès de la médecine, et ce n'est qu'un début.

- certains disent que le premier homme qui vivra 1000 ans est probablement déjà né.
Il s'agirait de très rares humains qui pourraient payer le traitement.
Un des membres de la commission d'éthique, interrogé, parlait d'un accroissement de 30 % d'espérance de vie à l'horizon de 20xx... zut j'ai oublié... je crois 2030 !

- les grands progrès à venir se feront autour des nanobiotechnologies, des cellules souches (médecine régénérative), des manipulations génétiques et de l'informatique.

- Paolo Machiarine

- les excès dues aux progrès dans des pays mal contrôlés comme la Thaïlande et ses usines à GPA

- l'euthanasie en Belgique et ses dérives ou du moins ses questionnements

Il me semble qu'on voit dès maintenant qu'un état ne peut plus rien faire avec le "principe de précaution", des lois strictes, l'interdiction du "commerce d'organes", etc. associé au droit international - concrètement je pense à la France qui ne peut qu'accepter (mis devant le fait accompli) les GPA pratiquées à l'étranger par des compatriotes.

Bonsoir Gérard, tous !
J'ai demandé à Patrick son avis sur l'avenir de la médecine Il pense que c'est le changement de financement qui va marquer les décennies à venir. La sécu est en déficit et les Français vont réaliser que se soigner a un cout. Pourquoi devrait elle prendre un charge les maladies liées à une mauvaise hygiène de vie ? Il vaut mieux que chacun se prenne en charge de façon préventive(avoir une alimentation saine, faire du sport etc. )Les mutuelles vont prendre le relais de la sécu mais chacun va devenir d'avantage responsable de sa vie.
Bien sur il y a les accidents de parcours qui sont imprévisibles et dont la société doit s'occuper mais c'est un autre problème, celui de la solidarité qui doit relever de la sécu.  

Gérard a écrit:les grands progrès à venir se feront autour des nanobiotechnologies, des cellules souches (médecine régénérative), des manipulations génétiques et de l'informatique

Qui pourra payer ? c'est un débat politique.
D'autre part les recherches doivent être encadrées.
http://comitedethique.wordpress.com/about/ethique-de-la-recherche-medicale/

la vocation de l’éthique médicale et biologique est d’encadrer l’usage des techniques nouvelles en recherchant, en permanence, un juste équilibre entre les droits des malades, la liberté de la recherche et le respect des valeurs essentielles de notre société.

Bonsoir Muriel,

Merci pour ta réponse.

MurielB a écrit:... D'autre part les recherches doivent être encadrées.
http://comitedethique.wordpress.com/about/ethique-de-la-recherche-medicale/

la vocation de l’éthique médicale et biologique est d’encadrer l’usage des techniques nouvelles en recherchant, en permanence, un juste équilibre entre les droits des malades, la liberté de la recherche et le respect des valeurs essentielles de notre société.

Bien difficile lorsqu'il est permis dans un pays voisin de "notre Europe" (que l'on essaie de créer), on peut choisir l'heure de sa mort (même si les textes disent que c'est encadré), où une GPA (refuser la nationalité à un bébé de parents Français lorsqu'on donne la nationalité Française à n'importe quel réfugié économique ou politique ???).

Gérard c'est vrai qu'il est difficile d'avoir les mêmes règles dans "notre Europe'. que l'on essaie péniblement de construire. Déjà être clair vis à vis de soi-même est déjà pas mal !

Muriel,
Mêmes règles ou pas, au final, la France doit s'aligner.

Bonsoir à tous,

-> Santé : des mesures préventives bien connues, mais des réticences subsistent

AFP) - Ne pas fumer, modérer sa consommation d'alcool, lutter contre la sédentarité: les principales recommandations pour prévenir certaines maladies sont bien intégrées par les Français, même si des réticences subsistent, selon un sondage Ifop publié jeudi.

article des Echos :

«L’agriculturededemain
seraécologiquementintensive »
Propos recueillis par
Marie-Josée Cougard
La planète devra nourrir plus
de 9 milliards d’individus
en 2050, contre7milliards
aujourd’hui. Mais la surface agricole
utile n’est pas extensible. Seule
solution, accroître les rendements
àl’hectareenjouantsurdesprocessus
naturels. Des méthodes révolutionnaires
que dévoile Michel
Griffon, agronomeéconomiste.
Quels sont les défis à relever
par l’agriculture ?
Les démographes s’accordent pour
prévoirquelapopulationmondiale
augmentera d’aumoins 30%d’ici à
2050.Maisonnepeut pas étendre à
l’infini la surface agricole utile. Or,
depuis dix ans, les rendements plafonnentpartoutàcausedeschangementsclimatiques.
Il vadoncfalloir
adapter les végétauxetaccroître les
rendements à l’hectare, alors que
l’opinionestdeplusenplussensible
à la protection de l’environnement,
à sa santé. L’agriculture qui combine
toutes ces exigences sera écologiquement
intensive.
L’agriculture écologiquement
intensive, n’est-ce pas
la quadrature du cercle ?
L’expression peut paraître contradictoire
parce que, dans la tête de
tout le monde, l’agriculture intensive est intensive en produitschimiques
et en capitaux. Mais rien
n’interdit d’inventer l’agriculture
intensive en écologie.D’ailleurs,elle
a déjà été adoptée par de nombreux
producteurs innovants. L’agricultureécologiquementintensive,
c’est
une manière d’utiliser au mieux les
possibilités offertespar desprocessus
naturels. Les progrèsdes sciences
écologiques et des technologies
de précisionouvrent la voie à toute
une nouvelle ingénierie.
Dans quels domaines ?
Dans celui de la chimie clairement.
Aulieud’utilisersystématiquement
despesticidespourdétruire lesprédateurs
et les parasites des plantes,
on peut se servir des toxines sécrétées
par la nature. Il suffit de les
reproduire. Cela évite de créer des
moléculesdontonneconnaîtpasle
devenir dans l’environnement. On
sait désormais fabriquer des
engrais encapsulés, qui présentent
aussi l’avantage de libérer leur
contenu exactement quand les
plantes en ont besoin. Cela correspondau
printemps, latempérature
monte, l’humidité aussi. Le sol
fabrique alors des ions favorables
audéveloppementdesracines.C’est
le moment où les engrais encapsuléss’ouvrent.
Onéviteainsilesfuites
d’azote vers les cours d’eau ou le
relargage des oxydes d’azote dans
l’atmosphère.
On est un peu dans la chimie
fiction non ?
Maisnon, pas du tout. La première
usine qui les fabrique a été inaugurée
à Montpellier.
Vous parlez d’adapter
les plantes aux changements
climatiques. Est-ce d’OGM
dont il s’agit ?
Non. On sait désormais faire beaucoup
mieux que les organismes
génétiquement modifiés. Je crois
même pouvoir dire que nous sommes
déjà dans l’ère post-OGM. Il
existe depuis un an ou deux des
méthodes beaucoup plus douces
que la transgenèse, très polémique,
elle, parcequ’ellemodifie legénome
d’uneplantepourluidonnerdenouvelles
caractéristiques.Avec les dernières
technologies mises au point,
on sait accélérer les mutations que
les plantes opèrent naturellement
pours’adapterauxchangementsclimatiques,
comme le manque d’eau
parexemple.Enprocédantainsi,on
ne faitqu’accompagner la nature en
lui donnant des petits coups de
pouce.Onne latransformepas.
Est-ce la fin des OGMalors ?
OnnevapasremplacerlesOGMdu
jour au lendemain, mais une page
est clairement en train de se tourner.
Toutes les entreprises s’intéressent
à ces nouvelles technologies.
La concurrence entre recherche
publique et recherche privée sur le
sujetestextrêmementvive.Toutest
dans la nature, mais l’analyse de
certains génomes, comme celui du
blé, extrêmement complexe va
demander beaucoup de temps et
d’argent, alors qu’il y a une course
devitesseengagéeentreleschangements
climatiques et les capacités
des plantes à s’yadapter.
Vous ne parlez pas
du numérique, pourtant
très présent en agriculture…
Toutàfait.L’agriculturevitunevéritablerévolution
grâce à l’utilisation
dessatellitesetdesdrones,quifournissent
des analyses d’une extrême
précision. Grâce à cela, on peut
considérablement limiter les interventionsetfairedutravailtrèsciblé.
Ilyamêmedeslogicielsquipermettent
d’anticiper lesmaladies.

Remy merci pour ces bonnes nouvelles que l'on a peine à croire !

écologiquement intensive

Ce n'est pas un oxymore ? On imagine mal produire beaucoup et de façon écologique ! Si tu le dis c'est que c'est vrai !

Muriel,

ce n'est pas moi qui le dis; selon ces gens, il est possible de remplacer les pecticides - chimiques et nocifs - par des équivalents naturels; on obtiendrait les mêmes rendements, mais sans nocivité. A voir...

Bonsoir à tous,

Il y a en ce moment sur France 5, une émission dirigée par Marina Carrère-D'Encausse et Michel Cymes.

Emission très intéressante !

Les personnes âgées (au-delà de 75 ans) prennent la moitié des médicaments vendus sur le marché.
Nombreux sont ceux qui ont une liste de plus de 15 médicaments.

- l'interaction de ces médicaments est grandement inconnue
- chaque spécialiste prescrit environ 3 médicaments
- les médicaments prescrits par les spécialistes sont reconduits pendant des années et des années
- une immense majorité de >90 ans prennent des neuroleptiques
- un spécialiste ne connaît "que" sa spécialité ; un généraliste n'a pas les connaissances suffisantes et de toute façon, n'ose pas supprimer un médicament prescrit par un spécialiste ; très rares sont les médecins capables de faire le tri dans l'ordonnance et souvent, il y a suppression de plus de la moitié des lignes !!!
- les médicaments, aux actions vaguement connues chez les 20-70 ans, ont des actions différentes chez les personnes âgées
- les médicaments ne sont pas testés par les laboratoires, sur les personnes âgées
- pour le test de médicaments, on choisi le gros de la population en éliminant les cas à part : on élimine les personnes âgées, les gros, les fumeurs, etc. et on appliquera les conclusions à toute la population y compris aux enfants (mais on corrigera la quantité)
- les médicaments prescrits avant 70 ans ont souvent des effets inverses sur les 90 ans par exemple les neuroleptiques qui entraînent des confusions alors qu'ils sont censés prévenir la maladie d'Altzheimer
- beaucoup de médicaments tentent de diminuer les symptômes, pas à soigner

Gérard, c'est très intéressant ! Le problème avec l'évolution de la médecine est que l'être humain est tronçonné et il n'y a pas de prise en charge de l'ensemble de la personne.
Le cardiologue donne les médicaments, le pneumo idem, le dermato idem et le résultat est que personne ne fait la synthèse.

un spécialiste ne connaît "que" sa spécialité ; un généraliste n'a pas les connaissances suffisantes et de toute façon, n'ose pas supprimer un médicament prescrit par un spécialiste

Je suis bien d'accord Muriel.
Je n'ai pas critiqué les médecins, tout au plus ai-je montré du doigt les laboratoires.
La prise de médicaments par les personnes âgées est un gros problème (effets inconnus car différents de ceux des <70 ans, interactions inconnues, méconnaissance de l'ensemble de l'humain en particulier des >90 ans).

Je suis surpris de ne pas entendre parler des pharmaciens, qui ont une certaine connaissance des interactions mais qui ne sont pas considérés...

Il n'y a pas assez de gérontologues (gériatres ?) ; il n'y a pas assez de coordination.

Le documentaire vient de se terminer et Michel et Marina animent maintenant un débat.

Voila, ça commence à évoquer le rôle d'un pharmacien.

Pour ma part, j'ai horreur des médicaments (qui tentent vaguement d'effacer les symptômes mais ne préviennent rien) et je n'ai pas pris 1à cachets d'aspirine de toute ma vie ; j'espère que ça va continuer... il y a des chances que ça me joue des tours un jour (ce refus des médicaments).

Michel vient de lire la question d'un téléspectateur : "Quel est le médicament qui tue le plus ?"