"Valley of Love" de Guillaume Nicloux
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"Valley of Love" de Guillaume Nicloux
Ce film ne m'a pas su tout marquée et je n'ai pas grand chose à dire à son sujet.
Le scénario : le suicide d'un fils abandonné par sa mère à l'âge de 6 ans (Isabelle Huppert) et placé par son père (Gérard Depardieu) en pension, pendant que le couple refaisait sa vie chacun de son côté.
Le couple se retrouve, à la demande posthume du fils, dans "Death Valley" près de Las Vegas, pour y passer ensemble une semaine et pour se rendre dans certains lieux où le fils promet "d'apparaître".
Le film nous montre certaines circonstances bizarres : hallucinations, angoisses, qui troublent l'un comme l'autre.
L'atmosphère lourde, pesante et chaude de la Vallée de la Mort ajoute à l'atmosphère de culpabilité dans ce deuil et dans le regret de n'avoir pas assez aimé ce fils trop tôt disparu.
Est-ce-que le couple va se reformer après ce voyage de retrouvailles, on ne le saura pas, car il s'agit ici d'analyser les profondeurs des sentiments intimes devant la mort d'un enfant à qui on a donné la vie.
Les deux acteurs sont excellents, même si l'obésité de GD en opposition avec la sveltesse de IH nous fait regretter le laisser-aller du premier, qui ne soigne pas du tout son image d'acteur de première classe.
Le scénario : le suicide d'un fils abandonné par sa mère à l'âge de 6 ans (Isabelle Huppert) et placé par son père (Gérard Depardieu) en pension, pendant que le couple refaisait sa vie chacun de son côté.
Le couple se retrouve, à la demande posthume du fils, dans "Death Valley" près de Las Vegas, pour y passer ensemble une semaine et pour se rendre dans certains lieux où le fils promet "d'apparaître".
Le film nous montre certaines circonstances bizarres : hallucinations, angoisses, qui troublent l'un comme l'autre.
L'atmosphère lourde, pesante et chaude de la Vallée de la Mort ajoute à l'atmosphère de culpabilité dans ce deuil et dans le regret de n'avoir pas assez aimé ce fils trop tôt disparu.
Est-ce-que le couple va se reformer après ce voyage de retrouvailles, on ne le saura pas, car il s'agit ici d'analyser les profondeurs des sentiments intimes devant la mort d'un enfant à qui on a donné la vie.
Les deux acteurs sont excellents, même si l'obésité de GD en opposition avec la sveltesse de IH nous fait regretter le laisser-aller du premier, qui ne soigne pas du tout son image d'acteur de première classe.
Guilaine- Messages : 1122
Lieu : Calais
Langues : Français (Langue maternelle), Gb, De, Es,It
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