Préserver la santé ? Préserver la liberté ?
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Préserver la santé ? Préserver la liberté ?
Préserver la santé ? Préserver la liberté ?
Où finit la prévention ? où commencent les liberticides ? Cette question devient de plus en plus lancinante à mesure que se développe et surtout dure cette pandémie. De la Chine est venu le virus, personne ne le nie (tout au moins officieusement). De la Chine sont venus aussi les remèdes : au départ les masques, les mesures barrières et bien sur le confinement puis les vaccins.
Si les restrictions de circulation, d’opinion, de diffusions d’informations sont monnaies courantes dans ce type d’organisations sociétales (cela n’exprime en rien un quelconque jugement mais une simple constatation), il est difficile à le concevoir pour nous Européens et plus particulièrement nous Français propres à moult contestations.
- La première question est : les mesures de confinement préservent-elles de l’épidémie? Sont-elles les seules mesures, à titre individuel, à titre collectif pour nous protéger ?
- La liberté est-elle un bien individuel ou collectif ?
- Dans notre pays : qui a le droit de nous restreindre notre liberté ? un gouvernement ? un ou des parlements? la justice ?
Les mesures de confinement préservent-elles de l’épidémie ?
- D’abord qui sommes nous pour pouvoir émettre une opinion ? A priori, en tant que simple citoyen, tout le monde dans notre société a le droit fondamental de pouvoir s’exprimer. Bien évidemment ce droit s’arrête où la justice le décide (exemple « le blasphème ». Deuxièmement, à titre médical, on peut avoir une opinion « plus scientifique » puisque c’est notre domaine d’expertise à priori également. Ici on peut se heurter à des limites qui ne sont pas judiciaires puisque l’ordre des médecins peut vous poursuivre. « si vous émettez des opinions qui sont à l’encontre de la santé publique » c’est une décision parlementaire qui me paraît dangereuse et votée « en catimini » fin décembre 2020 pour laquelle un collectif de médecins se montre « récalcitrant ». L’autre limite à la liberté d’expression d’un médecin est plus insidieuse puisqu’il dépend de mesures administratives de la CPAM (caisse primaire d’assurances maladie). Un médecin en exercice peut être « déconventionné » (c’est à dire que ses patients ne seront plus remboursés pour les actes effectués par lui).
C’est une décision administrative et il est difficile (pas impossible) de la contester. La CPAM sanctionne rarement et quand elle le fait c’est, dans la majorité des cas, en raison de graves fraudes. Mais quand même ce n’est pas une décision de justice avec une procédure légale (peut-elle être soumise à influence ?).
Nous voyons ici qu’il faut déjà prendre quelques précautions pour un médecin d’émettre « sa libre opinion ». Est-ce liberticide ? C’est un vaste débat. Normalement il y a l’Ordre des médecins comme « régulateur ». C’est un organisme qui a été créé par le gouvernement de Vichy sous l’occupation et renvoie, pour une partie d’entre nous, à une période peu glorieuse de notre passé : occupation, collaboration, résistance, dénonciation, arrestation, déportation. Là aussi il faut raison garder et ne pas juger. Une personne peut naître de parents peu recommandables mais elle ne doit pas pour autant « hériter » de la culpabilité de ceux-ci. La fille de Staline n’est pas responsable des actes odieux de son père. Les allemands actuels ne sont pas responsables des « crimes nazis ».
Voilà toutes ces précautions prises (et nécessaires ?) je peux vous livrer mon opinion en tant que citoyen et ancien professionnel de santé.
Le confinement est-elle le seul moyen d’arrêter une épidémie et surtout cette épidémie du Covid 19 ?
Oui, bien évidemment, une « mise en quarantaine » des contaminés est un « bon moyen » d’arrêter la contamination. Cela me semble particulièrement vrai pour les épidémies « à bactéries » et « pour les épidémies virales à haut pouvoir mortifère rapide » :
par exemple : la Lèpre, la Peste, la Tuberculose, l’Ébola, etc… Pour les épidémies virales moins mortifères immédiates type Polio, Grippe et probablement Covid, c’est plus difficile à affirmer. D’abord parce que ce sont des maladies plus contagieuses par voies aéroportées, ou par ingestion. Qu’elles ne déterminent pas toutes une même pathogénicité : on voit des formes inapparentes, des formes sans séquelles, des formes avec séquelles graves, des formes mortelles. Pour la Polio qui touche l’ensemble d’une population avec formes graves, seule la vaccination permet son éradication. (Comme la Diphtérie, la Rougeole, la Rubéole, les Oreillons, la Coqueluche, les infections à Hémophilus, à Pneumocoques, à Méningocoques, etc…). Nous voyons donc que la vaccination est une arme redoutable contre les épidémies très contagieuses. Son usage se limite à la balance bénéfices/risques à titre individuel et à titre collectif. Pour le « vaccinateur » que peut être un médecin dans un cabinet privé, c’est la notion de bénéfices/risques à titre individuel qui, me semble-t-il, doit être admise dans un colloque singulier avec le patient, en tenant compte des obligations légales. Pour un « vaccinateur » dans une autre structure, sa responsabilité se limite à ses obligations légales et à une pratique rigoureuse des tâches qui lui sont demandées contractuellement.
Nous voyons donc que la notion de responsabilité est différente. Ce que le législateur comprend. Votre cotisation “responsabilité médicale” n’est pas la même dans un cadre privé et dans un cadre public (l’assureur intègre les risques et la responsabilité différents).
Ici nous avons abordé le cadre d’une « vaccination ancienne » éprouvée dont les effets dit « secondaires » sont bien répertoriés. Malheureusement « l’urgence » impose d’agir vite sans connaissances à long terme des effets secondaires. De plus, nous avons « à faire » à des vaccins conçus techniquement avec des procédés nouveaux pour des populations à risques variés très éloignés. Une vaccination de masse pour une population à risques importants et immédiats doit-elle être pratiquée en masse sur une population sans risques immédiats mais avec peut-être des effets à long terme voire transmissibles (certains experts ne l’excluent pas) sur une population au potentiel fertile et avec une espérance de vie importante. Qui prend en charge les effets secondaires et les risques ?
Ce qui se concevait du temps de Pasteur « avec sa vaccine » et ses expérimentations sur le « vivant » n’est pas concevable actuellement, sauf en dehors de circonstances exceptionnelles « en temps de guerre et d’urgence ».
Nous voyons donc que nos libertés ont récemment été mises à mal par le terrorisme et la pandémie covid 19 dès que l’on décrète « l’état de guerre ». Nous pouvons avoir nos réponses. Elles sont toutes exprimables. C’est à la démocratie parlementaire et à la justice d’en définir la légalité. Mais il importe de préserver la liberté d’expression. C’est un contre-pouvoir important, d’où notre attachement à la liberté de diffusion des modes d’expression. Nous voyons avec les États Unis l’importance de la finance dans la diffusion des informations. Seul un contre-pouvoir comme une presse protégée par la législation est importante. C’est aussi par voie de presse que la révolution aux États Unis a pu émerger avec un journaliste Thomas Paine et le Pennsylvania Magazine (pamphlet du 30 novembre 1774). C’est aussi grâce à une presse indépendante que « Trump » a trouvé un contre-pouvoir. Actuellement le pouvoir des médias télévisuels et des réseaux sociaux est si grand qu’il est légitime d’avoir des contre-pouvoir. Existent-ils ? Et qui détient leur pouvoir ? Et quelle législation les encadre ?
Donc après la « quarantaine », la vaccination, quelles sont les « armes » que nous avons contre une pandémie ?
Les médicaments bien évidemment : les antibiotiques (pour les épidémies bactériennes et apparentées, les antiviraux (pour les épidémies virales – ex trithérapie pour le Sida), et les « autres » celles que nous ne connaissons pas mais que la recherche, l’expérimentation, les circonstances fortuites (le premier antibiotique la pénicilline fut une découverte fortuite), les révélations de l’observation des méthodes traditionnelles et ancestrales , celles de l’observation de la comparaison des morbidités des différents coupes d’humain, de mammifères etc... (études demandant du temps mais qui ont fait leurs preuves dans la résolution de nombreuses pathologies)
Les solutions existent, elles demandent du temp. En avons-nous ? Les plus fragiles non. Les plus jeunes oui d’autant qu’ils sont de beaucoup moins touchés bien que plus exposés. Ce qui pour quelques uns d’entre eux fait naître un sentiment de sacrifiés par une gérontocratie...
Et n’oublions pas le « traitement » du « terrain », c’est à dire nous les humains. Si nous réduisons notre « sensibilité » aux agents pathogènes, nous diminuons les risques de « tomber malade » et de « transmettre la maladie » (ex : les hygiénistes disent que la diminution de la tuberculose est due autant à l’amélioration de l’hygiène que la vaccination et les traitements anti-tuberculeux. C’est une position un peu extrême, mais on ne peut nier le rôle d’un habitat sain, d’une exposition à la lumière (vitamine D), d’une alimentation saine permettant à l’adage « un corps sain dans un esprit sain » d’avoir toute sa valeur dans la lutte contre la maladie. L’immunité est un phénomène complexe sous la dépendance de phénomènes physiques mais aussi psychiques.
Et là nous voyons que nous avons notre domaine de liberté pour réduire l’incidence de la maladie : se nourrir correctement (diminution du diabète, de l’hypertension, du surpoids, des maladies cardio-vasculaires), « être bien dans sa tête » limite le stress, les situations à risque (besoins d’alcoolisations festives, de « drogues » dites douces d’apaisement), d’une hygiène corporelle (le simple lavage des mains a permis de réduire considérablement les « fièvres puerpérales » responsables d’une mortalité importante en maternité. Mais toutes ces mesures « hygiénistes » ne sont pas de notre seule responsabilité individuelle. L’État a sa responsabilité dans l’offre d’un logement décent et non concentrationnaire de personnes fragiles (exemples : Township, Favellas, Banlieues défavorisées mais aussi regroupement de personnes agèes fragiles en un même lieu). Il doit permettre le maintien à domicile ou en famille par des aides physiques ou financières pour que les pandémies trouvent pas « un terreau » favorable à leurs développements.
Donc un État peut réduire notre liberté mais dans un cadre parlementaire sous contrôle d’une justice indépendante si non à nous rappeler les « haus weiss » et les « zones interdites » que notre territoire littoral a bien connu des anciens occupants. Il doit permettre un habitat salubre « le droit au logement », il doit permettre à chacun « le droit à une nourriture saine » par une rémunération minimale à tous ses citoyens. Nous voyons que « cette guerre du Covid » entraîne des réflexions « sociétales » et des réformes structurelles gouvernementales Françaises et Européennes.
Nous ne sommes plus à l’ère Napoléonienne où l’Europe devait être conquise. La France a beaucoup à apprendre de ses voisins même les plus petits. Nous ne voulons pas d’une Europe « normalisée » mais d’une « union différentiante » avec une gouvernance pluricéphale. Un « état centralisateur » à l’ère des réseaux libres ne pourra survivre si non devenir « fachiste » et la tentation sera grande pour les plus irréfléchis de choisir l’original plutôt que l’ « ersatz ».
Où finit la prévention ? où commencent les liberticides ? Cette question devient de plus en plus lancinante à mesure que se développe et surtout dure cette pandémie. De la Chine est venu le virus, personne ne le nie (tout au moins officieusement). De la Chine sont venus aussi les remèdes : au départ les masques, les mesures barrières et bien sur le confinement puis les vaccins.
Si les restrictions de circulation, d’opinion, de diffusions d’informations sont monnaies courantes dans ce type d’organisations sociétales (cela n’exprime en rien un quelconque jugement mais une simple constatation), il est difficile à le concevoir pour nous Européens et plus particulièrement nous Français propres à moult contestations.
- La première question est : les mesures de confinement préservent-elles de l’épidémie? Sont-elles les seules mesures, à titre individuel, à titre collectif pour nous protéger ?
- La liberté est-elle un bien individuel ou collectif ?
- Dans notre pays : qui a le droit de nous restreindre notre liberté ? un gouvernement ? un ou des parlements? la justice ?
Les mesures de confinement préservent-elles de l’épidémie ?
- D’abord qui sommes nous pour pouvoir émettre une opinion ? A priori, en tant que simple citoyen, tout le monde dans notre société a le droit fondamental de pouvoir s’exprimer. Bien évidemment ce droit s’arrête où la justice le décide (exemple « le blasphème ». Deuxièmement, à titre médical, on peut avoir une opinion « plus scientifique » puisque c’est notre domaine d’expertise à priori également. Ici on peut se heurter à des limites qui ne sont pas judiciaires puisque l’ordre des médecins peut vous poursuivre. « si vous émettez des opinions qui sont à l’encontre de la santé publique » c’est une décision parlementaire qui me paraît dangereuse et votée « en catimini » fin décembre 2020 pour laquelle un collectif de médecins se montre « récalcitrant ». L’autre limite à la liberté d’expression d’un médecin est plus insidieuse puisqu’il dépend de mesures administratives de la CPAM (caisse primaire d’assurances maladie). Un médecin en exercice peut être « déconventionné » (c’est à dire que ses patients ne seront plus remboursés pour les actes effectués par lui).
C’est une décision administrative et il est difficile (pas impossible) de la contester. La CPAM sanctionne rarement et quand elle le fait c’est, dans la majorité des cas, en raison de graves fraudes. Mais quand même ce n’est pas une décision de justice avec une procédure légale (peut-elle être soumise à influence ?).
Nous voyons ici qu’il faut déjà prendre quelques précautions pour un médecin d’émettre « sa libre opinion ». Est-ce liberticide ? C’est un vaste débat. Normalement il y a l’Ordre des médecins comme « régulateur ». C’est un organisme qui a été créé par le gouvernement de Vichy sous l’occupation et renvoie, pour une partie d’entre nous, à une période peu glorieuse de notre passé : occupation, collaboration, résistance, dénonciation, arrestation, déportation. Là aussi il faut raison garder et ne pas juger. Une personne peut naître de parents peu recommandables mais elle ne doit pas pour autant « hériter » de la culpabilité de ceux-ci. La fille de Staline n’est pas responsable des actes odieux de son père. Les allemands actuels ne sont pas responsables des « crimes nazis ».
Voilà toutes ces précautions prises (et nécessaires ?) je peux vous livrer mon opinion en tant que citoyen et ancien professionnel de santé.
Le confinement est-elle le seul moyen d’arrêter une épidémie et surtout cette épidémie du Covid 19 ?
Oui, bien évidemment, une « mise en quarantaine » des contaminés est un « bon moyen » d’arrêter la contamination. Cela me semble particulièrement vrai pour les épidémies « à bactéries » et « pour les épidémies virales à haut pouvoir mortifère rapide » :
par exemple : la Lèpre, la Peste, la Tuberculose, l’Ébola, etc… Pour les épidémies virales moins mortifères immédiates type Polio, Grippe et probablement Covid, c’est plus difficile à affirmer. D’abord parce que ce sont des maladies plus contagieuses par voies aéroportées, ou par ingestion. Qu’elles ne déterminent pas toutes une même pathogénicité : on voit des formes inapparentes, des formes sans séquelles, des formes avec séquelles graves, des formes mortelles. Pour la Polio qui touche l’ensemble d’une population avec formes graves, seule la vaccination permet son éradication. (Comme la Diphtérie, la Rougeole, la Rubéole, les Oreillons, la Coqueluche, les infections à Hémophilus, à Pneumocoques, à Méningocoques, etc…). Nous voyons donc que la vaccination est une arme redoutable contre les épidémies très contagieuses. Son usage se limite à la balance bénéfices/risques à titre individuel et à titre collectif. Pour le « vaccinateur » que peut être un médecin dans un cabinet privé, c’est la notion de bénéfices/risques à titre individuel qui, me semble-t-il, doit être admise dans un colloque singulier avec le patient, en tenant compte des obligations légales. Pour un « vaccinateur » dans une autre structure, sa responsabilité se limite à ses obligations légales et à une pratique rigoureuse des tâches qui lui sont demandées contractuellement.
Nous voyons donc que la notion de responsabilité est différente. Ce que le législateur comprend. Votre cotisation “responsabilité médicale” n’est pas la même dans un cadre privé et dans un cadre public (l’assureur intègre les risques et la responsabilité différents).
Ici nous avons abordé le cadre d’une « vaccination ancienne » éprouvée dont les effets dit « secondaires » sont bien répertoriés. Malheureusement « l’urgence » impose d’agir vite sans connaissances à long terme des effets secondaires. De plus, nous avons « à faire » à des vaccins conçus techniquement avec des procédés nouveaux pour des populations à risques variés très éloignés. Une vaccination de masse pour une population à risques importants et immédiats doit-elle être pratiquée en masse sur une population sans risques immédiats mais avec peut-être des effets à long terme voire transmissibles (certains experts ne l’excluent pas) sur une population au potentiel fertile et avec une espérance de vie importante. Qui prend en charge les effets secondaires et les risques ?
Ce qui se concevait du temps de Pasteur « avec sa vaccine » et ses expérimentations sur le « vivant » n’est pas concevable actuellement, sauf en dehors de circonstances exceptionnelles « en temps de guerre et d’urgence ».
Nous voyons donc que nos libertés ont récemment été mises à mal par le terrorisme et la pandémie covid 19 dès que l’on décrète « l’état de guerre ». Nous pouvons avoir nos réponses. Elles sont toutes exprimables. C’est à la démocratie parlementaire et à la justice d’en définir la légalité. Mais il importe de préserver la liberté d’expression. C’est un contre-pouvoir important, d’où notre attachement à la liberté de diffusion des modes d’expression. Nous voyons avec les États Unis l’importance de la finance dans la diffusion des informations. Seul un contre-pouvoir comme une presse protégée par la législation est importante. C’est aussi par voie de presse que la révolution aux États Unis a pu émerger avec un journaliste Thomas Paine et le Pennsylvania Magazine (pamphlet du 30 novembre 1774). C’est aussi grâce à une presse indépendante que « Trump » a trouvé un contre-pouvoir. Actuellement le pouvoir des médias télévisuels et des réseaux sociaux est si grand qu’il est légitime d’avoir des contre-pouvoir. Existent-ils ? Et qui détient leur pouvoir ? Et quelle législation les encadre ?
Donc après la « quarantaine », la vaccination, quelles sont les « armes » que nous avons contre une pandémie ?
Les médicaments bien évidemment : les antibiotiques (pour les épidémies bactériennes et apparentées, les antiviraux (pour les épidémies virales – ex trithérapie pour le Sida), et les « autres » celles que nous ne connaissons pas mais que la recherche, l’expérimentation, les circonstances fortuites (le premier antibiotique la pénicilline fut une découverte fortuite), les révélations de l’observation des méthodes traditionnelles et ancestrales , celles de l’observation de la comparaison des morbidités des différents coupes d’humain, de mammifères etc... (études demandant du temps mais qui ont fait leurs preuves dans la résolution de nombreuses pathologies)
Les solutions existent, elles demandent du temp. En avons-nous ? Les plus fragiles non. Les plus jeunes oui d’autant qu’ils sont de beaucoup moins touchés bien que plus exposés. Ce qui pour quelques uns d’entre eux fait naître un sentiment de sacrifiés par une gérontocratie...
Et n’oublions pas le « traitement » du « terrain », c’est à dire nous les humains. Si nous réduisons notre « sensibilité » aux agents pathogènes, nous diminuons les risques de « tomber malade » et de « transmettre la maladie » (ex : les hygiénistes disent que la diminution de la tuberculose est due autant à l’amélioration de l’hygiène que la vaccination et les traitements anti-tuberculeux. C’est une position un peu extrême, mais on ne peut nier le rôle d’un habitat sain, d’une exposition à la lumière (vitamine D), d’une alimentation saine permettant à l’adage « un corps sain dans un esprit sain » d’avoir toute sa valeur dans la lutte contre la maladie. L’immunité est un phénomène complexe sous la dépendance de phénomènes physiques mais aussi psychiques.
Et là nous voyons que nous avons notre domaine de liberté pour réduire l’incidence de la maladie : se nourrir correctement (diminution du diabète, de l’hypertension, du surpoids, des maladies cardio-vasculaires), « être bien dans sa tête » limite le stress, les situations à risque (besoins d’alcoolisations festives, de « drogues » dites douces d’apaisement), d’une hygiène corporelle (le simple lavage des mains a permis de réduire considérablement les « fièvres puerpérales » responsables d’une mortalité importante en maternité. Mais toutes ces mesures « hygiénistes » ne sont pas de notre seule responsabilité individuelle. L’État a sa responsabilité dans l’offre d’un logement décent et non concentrationnaire de personnes fragiles (exemples : Township, Favellas, Banlieues défavorisées mais aussi regroupement de personnes agèes fragiles en un même lieu). Il doit permettre le maintien à domicile ou en famille par des aides physiques ou financières pour que les pandémies trouvent pas « un terreau » favorable à leurs développements.
Donc un État peut réduire notre liberté mais dans un cadre parlementaire sous contrôle d’une justice indépendante si non à nous rappeler les « haus weiss » et les « zones interdites » que notre territoire littoral a bien connu des anciens occupants. Il doit permettre un habitat salubre « le droit au logement », il doit permettre à chacun « le droit à une nourriture saine » par une rémunération minimale à tous ses citoyens. Nous voyons que « cette guerre du Covid » entraîne des réflexions « sociétales » et des réformes structurelles gouvernementales Françaises et Européennes.
Nous ne sommes plus à l’ère Napoléonienne où l’Europe devait être conquise. La France a beaucoup à apprendre de ses voisins même les plus petits. Nous ne voulons pas d’une Europe « normalisée » mais d’une « union différentiante » avec une gouvernance pluricéphale. Un « état centralisateur » à l’ère des réseaux libres ne pourra survivre si non devenir « fachiste » et la tentation sera grande pour les plus irréfléchis de choisir l’original plutôt que l’ « ersatz ».
PatrickB- Messages : 694
Lieu : café de Calais (et d'ailleurs - déplacements)
Langues : Français (Langue maternelle) , Gb
De la part de Sylvia : Recherche lexicale intéressante
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La langue c'est Le Lien,
Language is The Link,
La Lengua es el Nexo de unión,
Sprache ist die Verbindung,
Il Linguaggio è Il Legame,
La Lingvo estas La Ligilo etc.
MurielB- Admin
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Lieu : Calais
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